BLACK CELEBRATION BY INDO, SUR LTC LIVE !

Une tite INDO-TV...

  Et un tit Interview de Nicola...

 

LA « BLACK CITY PARADE » D’INDOCHINE DEMARRE BIENTOT…

 

   

 

 

 

 

 

 

Le 11 février dernier est sorti le 12^ème album d’Indochine « Black City Parade ». Ce nouvel opus est taillé sur mesure pour la Scène avec de supers morcifs, tels que "Black City Parade", "College Boy", "Belfast", "Traffic Girl" et "Nous Demain". Et cela tombe bien, puisque les Indos démarrent leur plus importante tournée Live, jamais réalisée, le 21 février 2013, au Zénith de Nancy, qui affiche « complet », comme la plupart des Scènes qui reçoivent le groupe prochainement. Le Band à Nicola Sirkis est né le 10 mai 1981, l’année durant laquelle a été imaginée la Fête de la musique par Maurice Fleuret… Un signe fort, en tous cas, qui guide Indochine sur les chemins de la Pop et de la New-Wave Française, depuis plus de 30 ans, avec un look version « Black Celebration », heu pardon… « Black City Parade » !

JeanDO duWeb, pour LTC Live !

INFO+ : http://www.indo.fr/

 

 

  

 

 

 

 

 

VOUS AVEZ DEMANDE "THE POLICE" ? VEUILLEZ NE PAS QUITTER !

LTC LIVE DJEUNS BY MAF...

 

LTC LIVE - ONE SONG, TWO VERSIONS : "IT'S MAGIC !"

Spécialement dédié à MAF...

« LA FILLE (surgie) DE NULLE PART (et d’ailleurs)… »

 

« La Fille De Nulle Part » est un drame français fantastique, d’une durée de 91 minutes, qui sort sur nos écrans le 6 février 2013. Réalisé par Jean-Claude Brisseau, ce film raconte l'histoire de Michel, professeur de mathématiques à la retraite - une sorte de gros ours mal léché, vivant seul, depuis le décès de sa femme - occupant toutes ses journées à l’écriture d’un essai sur les croyances qui façonnent la vie quotidienne ; à l’image d’une de ses répliques : « Une nuit, en me réveillant et me retrouvant seul, nu, démuni devant le vide de ma condition… pour calmer mon angoisse, je me suis mis à prier Dieu auquel je ne crois pas… » Les rôles principaux sont tenus par Virginie Legeay (Dora, la blonde incendiaire), Jean-Claude Brisseau (qui se met en scène en incarnant un Michel authentique), et Claude Morel (l’ami de Michel).

UNE RENCONTRE BAROQUE.

La rencontre à l’impromptu de Dora, mystérieuse Inconnue, va bouleverser la vie de Michel à tout jamais. Tout démarre par l’agression de cette muse sublime, intensément désirable, trouvée par Michel sur le bas de sa porte, baignant dans son sang, suite à une agression. Cette jeune femme sans domicile fixe, il va l’héberger le temps nécessaire à son rétablissement. Voici le point de départ de cette histoire extraordinaire, de cette rencontre d’exception, de cet idylle qui rallume le feu sacré chez cet homme quelconque totalement envoûté par cette femme, mi-ange mi-démon, aux pouvoirs très étranges... Car si la présence de Dora apporte un peu de fraîcheur dans la vie de Michel, peu à peu, l’appartement (celui de Jean-Claude Brisseau dans la vie réelle), jusqu’à lors réputé tranquille, devient vite le théâtre de phénomènes paranormaux. Depuis l’apparition de Dora, subitement sans explications, l’écriture du livre de Michel s'accélère sur un rythme endiablé, les idées fusent en même temps que d’étranges manifestations surviennent… Michel est comme possédé. Les interrogations qu’il pose dans son ouvrage semblent bouleverser un monde parallèle au sien… plein de fantômes qui soudainement entrent en interaction avec lui… Des évènements étranges qui, par contre, ne semblent pas inquiéter Dora, un peu comme si « ces mystérieuses rencontres avec l’invraisemblable » lui étaient familières, à l’image d’un Victor Hugo pratiquant le spiritisme au quotidien dans sa maison de Jersey.

LA DAMNATION DE FAUST SELON BRISSEAU.

Dora naturelle et attentive à l’extrême, par sa simple présence, établit très vite un dialogue constamment évolutif avec Michel son nouveau complice. Ces deux êtres humains torturés – le solitaire à jamais inconsolable de la disparition de sa femme, et la nymphe sans attache, surgie de nulle part - vivent, allez savoir pourquoi, à ce moment précis de leur existence : « LA » Rencontre. Celle qui redonne tout son sens au destin, ravive l’appétit d’exister jusqu’alors enfoui, interpelle et redonne envie de se dépasser. Cette toile de vie, c’est un peu la Belle et la bête à huis clos, Faust prêt à se damner en accéléré pour celle qu’il aime. A eux deux, Michel et Dora, dépassent les apparences physiques, la barrière de l’âge, pour ne s’attacher qu’à la quintessence de leur relation, à l’aura que chacun d’entre eux dégage. C’est-à-dire cette incroyable force de l’âme, cette attirance réciproque soutenue, un charme indéniable à partager à deux. Cet attachement passionné, dès sa naissance, dépasse les conventions avec une rare intensité. Entre ces deux là, c’est immédiatement : « à la vie à la mort ! » Cette œuvre, jouée avec brio dans l’alcôve théâtrale et chaleureuse de cet appart rempli de rayonnages de bouquins et de films, remue les tripes de « A » à « Z ».

BRISSEAU S’ERIGE EN MAITRE DU TEMPS QUI PASSE (et qui ne se rattrape pas…).

Ce film qui a vu le jour grâce au cachet perçu pour le dernier passage à la télévision de « Noce Blanche » (un autre film de Jean-Claude Brisseau, réalisé en 1989, avec Vanessa Paradis, en personnage principal, et qui traite de l’Amour impossible entre une adolescente et son professeur de philosophie) est un merveilleux foisonnement d’inventivité, un concentré d’émotions énergisantes à décapsuler de suite, balancé entre réalisme, symbolisme et mysticisme. Ce film en toute liberté reflète la personnalité de son réalisateur jusqu'au moindre détail. Ce dernier a d’ailleurs reçu le Léopard d’Or du 65ème Festival de Locarno (en Suisse), consacré au cinéma d'auteur. Jean-Claude Brisseau ne s’est jamais autant investi pour un film et cela se ressent, tant il arrive à communiquer sa flamme à son public. Ce chef-d’œuvre du 7ème Art, il le nourrit de son histoire personnelle, avec pudeur et hardiesse à la fois, de ses propres douleurs, doutes, et de sa soif insatiable de connaître l’Autre. En se mettant lui-même en scène dans le rôle de Michel, avec Virginie Legeay à la réplique, Brisseau souligne puissamment les liens de connivence profonds unissant ses deux personnages, dépassant par la même le rapport habituel liant deux acteurs. Cette symbiose affective émouvante et tragique reste unique, fantasmagorique et ponctuée par la douceur de la 5^ème Symphonie de Gustav Mahler. Les images de ce long métrage s’enchaînent, bercées de poésie, du début à la fin, renforçant le caractère secret, tinté d’une certaine nostalgie du temps qui passe. Un temps qui passe et qui ne se rattrape pas, un sentiment d'impuissance magnifiquement illustré par ce film. Un film sur la fuite en avant du temps, à voir et revoir à l’infini !

© Jean DORVAL, le 04 février 2013, pour LTC Kinéma.

 

PS :       Jean-Claude Brisseau sera le vendredi 8 février 2013, à 18h30, au Caméo Ariel, à Metz, et à 20h30, au Caméo Commanderie, à Nancy, pour présenter son film.

« Depeche Mode = DM = Delta Machine ! »

Le 25 mars 2013, le band Depeche Mode (DM) sort son 13ème album « Delta Machine ». Le premier single de cet opus, « Heaven », est dévoilé en ce 1^er février 2013. Une date à retenir, puisque Martin Gore, Dave Gahan et Andrew Fletcher, tout en lançant le clip de ce nouveau single, mettent le titre à disposition des internautes sur les plateformes de téléchargement (comme VEVO), tout en assurant la sortie physique du titre en CD single et en CD Maxi avec plusieurs remixes. Selon le label Columbia, l'une des versions alternatives du titre « Heaven » est signée Owlle, jeune révélation française, dont le titre « Ticky Ticky » fait actuellement un carton sur toutes les ondes.

UNE TOURNEE DM 2013 "DELTA FORCE".

L'année 2013 s'annonce chargée en rendez-vous, avec son public, pour le groupe trentenaire DM, qui part en tournée au printemps prochain, pour 34 dates dans 25 pays européens, avant de s’envoler pour l’Amérique de Nord. Une Grande Tournée, comme on les aime, qui débutera le 7 mai à Tel-Aviv, en Israël, et qui prendra fin, le 29 juillet, à Minsk, en Biélorussie. Les DM se produiront deux fois dans l’Hexagone : au Stade de France le 15 juin et aux Arènes de Nîmes le 16 juillet. La formation Britannique sera également à l’affiche de la 8^ème édition du festival espagnol Bilbao BBK Live, du 11 au 13 juillet, et se trouvera sur scène aux côtés de Green Day, King of Leon, Fatboy Slim, Editors ou encore The Hives.

L’ALBUM DE LA MODERNITE (renouvelée) POUR LES DM.

« Delta Machine » a été enregistré courant 2012, aux States, à Santa Barbara (Californie) et à New York. Il est produit par Ben Hillier (un célébrissime producteur anglais de Musique Pop, membre du « Collectif 140dB », qui a produit « entre autres succès » les Tops-Albums des DM « Playing The Angel » (2005) et « Sounds of the Universe » (2009), « Think Tank » des Blur et « Some Cities » de Doves) et mixé par Flood (Marc Ellis, de son vrai nom, un ingénieur audio Post-Punk et Rock-Alternatif, producteur de disques qui a bossé notamment avec les New Order, U2 (en 2006, il a partagé avec eux un Grammy Award, pour l'album de l'année, « How to Dismantle an Atomic Bomb »), Nine Inch Nails, Erasure, Nick Cave, PJ Harvey, Sigur Rós, The Smashing Pumpkins et The Killers). « Delta Machine » comprendra 13 titres pour l'édition simple (« Welcome To My World », « Angel », « Heaven », « Secret To The End », « My Little Universe », « Slow », « Broken », « The Child Inside », « Soft Touch/Raw Nerve », « Should Be Higher », « Alone », « Soothe My Soul », et « Goodbye »), et 17 pour l'édition de luxe, qui sera agrémentée d'un livret de photos de 28 pages, comprenant notamment des clichés d’Anton Corbijn. « Delta Machine » succède à « Sounds of the Universe », classé n°2 des ventes en France avec plus de 110.000 exemplaires, et n°1 dans pas moins de quatorze pays, avec un « titre-moteur » comme « Wrong », qui a su conquérir les oreilles averties. Depuis, seule la compile « Remixes 2 : 81-11 », éditée en juin 2011, avait su faire patienter les fans, en attente d’un nouvel album. Une compile faite en collaboration, pour des titres déjà publiés, avec M83, Unkle, Trentemoller et François Kervorkian, mais aussi pour quelques nouveautés, réalisées par Stargate, Eric Prydz, Karlsson & Winnberg, ou encore Röyksopp.

 

Pour Martin Gore écrire l’album « Delta Machine » « a été incroyablement intimidant » parce qu’il voulait « que le son de ces titres soit très moderne. » Et Dave Gahan de préciser, qu’à l’occasion de la création de cet album, la formation a totalement repensé sa manière de faire un CD. Elle a fait du « sur mesure », n’hésitant pas pour cela à troquer le son d’un « album (qui au début, ndlr) allait sonner trop normal », contre « un son (plus, ndlr) organique, à la Depeche Mode. » Originalités et innovations seront donc au rendez-vous le jour de la sortie de ce petit chef-d’œuvre concocté avec soins par les DM.

 

© Jean DORVAL, le 01 févier 2013, pour LTC Live.

 

INFO+ : http://heaven.depechemode.com/

"DOWN IN THE PARK" BY GARY NUMAN.

 

 

EN 4X4 MUZIKAL D'LTC LIVE : 4 SONGS SINON RIEN ! "SPECIAL DAHO."

 

  

   

 

 

EN AVANT PREMIERE "HEAVEN" DES DM EN LTC LIVE... GRACE A VEVO.

Les Depeche Mode, en ce vendredi 1er février 2013, dévoilent le clip de "Heaven", le premier extrait de leur 13ème opus, intitulé "Delta Machine" (sortie nationale le 25 mars 2013).

JD pour LTC LIve.

"IGLOO, IGLOO, IGLOOO ! IL EST DES NOOOTRES, IL A ECOUTE SON P'TIT DAHO COMME LES AU-AUTRES !!!"

"ÉTIENNE, ÉTIENNE ! OH !" (sur un ton à la Guesh Patty...)